Jean-Pierre Tiffon coaching

Le temps des championnats arrivent et avec eux les appels en urgence.

L’un ne sait pas comment gérer un débordement de stress, l’autre a besoin de réconfort pour gérer une défaite, un troisième ne supporte plus la pression de son environnement familial ou amical.

Et le coach mental se doit de prêter main forte et d’offrir une oreille attentive. Par simple humanité, il agit comme un urgentiste. Il devient réparateur mental.

Pourtant, le vrai travail à conduire avec un coach mental réside dans une action en amont. Il s’agit de se préparer à l’événement, d’anticiper les situations, de trouver en soi

des solutions et des ressources, de s’entrainer à les  mobiliser et à acquérir de nouveaux réflexes.

De plus en plus de jeunes sportifs ont compris que le travail mental est à intégrer dans leur préparation sportive, en devient une composante essentielle. Pour ces championnats, je vais accompagner plusieurs sportives avec qui je travaille régulièrement.

Préparateur plus que réparateur donc, mais il y a plus encore.

L’un des sportifs que j’accompagne me confiait l’autre jour : tu ne fais pas de la préparation mentale, tu nous aide à nous connaître en profondeur, à nous accepter tel que nous sommes et à savoir nous gérer par nous-même. Tu nous permet de devenir autonome.

En fait me dit-il tu es un « éducateur mental ».  Un beau métier, non ?

Merci à ceux qui me l’ont enseigné et transmis : édouard, georges, bernad, bernadette, stéphane, didier.